
Ce tableau fait partie d’une suite de douze scènes de la vie de saint Benoît, peinte à la demande d’Anne d’Autriche, vers 1646, pour le salon de son appartement du Val-de-Grâce. On retrouve des éléments de cette suite, dispersée à la Révolution, au musée de Bruxelles, à l’Ermitage, au musée de Menton et en collection particulière.