Acquisitions récentes

Cylindre en bronze gravé armorié, relique de la fonte du Louis XV de Bouchardon
© Musée Carnavalet – Histoire de Paris

Mathieu Lehanneur, les Torches des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024

Acquises en juin 2024, les Torches des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 rejoignent le fonds d’objets d’art dédié à l’héritage des Jeux de Paris.

Un objet qui célèbre l’héritage des Jeux de Paris

En 1924, Paris est la ville hôte des Jeux Olympiques. Le musée Carnavalet - Histoire de Paris conserve de cette manifestation quelques œuvres phares, à l’exemple du vase de la Manufacture nationale de Sèvres exposé dans les salles d’introduction sur l’histoire du musée.

Cent ans plus tard, Paris accueille les Jeux Olympiques et Paralympiques. D’avril à l’automne 2024, le musée présente un accrochage d’environ 70 oeuvres en lien avec le sport, intitulé le musée Carnavalet - Histoire de Paris entre en jeu(x). L’acquisition de ces torches s’intègre dans ce parcours qui célèbre l’art et le sport à un moment unique de l’histoire de la capitale. C’est dans la même vitrine du vase illustrant les Jeux de Paris 1924 que les torches sont exposées.

Une acquisition qui résonne d’autant plus avec l’actualité du musée : car c’est à la date symbolique du dimanche 14 juillet 2024 que la Flamme Olympique parcourra les salles du Musée Carnavalet.

Un objet symbolique des valeurs des Jeux Olympiques et Paralympiques

La Torche est un objet symbolique des Jeux : la Torche amène la Flamme Olympique et Paralympique qui diffuse un message de paix et d’unité.

Venant d’Olympie par la mer Méditerranée, la Flamme Olympique traverse pour les Jeux 2024 quatre cent villes françaises dont Paris entre le 14 et le 15 juillet. Au terme de ce relais, s’ouvrira la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, prévue sur la Seine, le 26 juillet 2024.

Après deux semaines de compétition sportive, la Flamme Olympique s’éteindra mais la Torche amènera de nouveau la Flamme Paralympique allumée à Stoke Mandeville, au Royaume Uni. Elle entamera un nouveau relais, portée par 1 000 autres porteurs de la Flamme, et rejoindra une nouvelle vasque pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques prévue le 28 août 2024.

Une torche dessinée par le designer Mathieu Lehanneur

Mathieu Lehanneur (né en 1974 à Rochefort) a remporté l’appel d’offre lancé par Paris 2024 pour créer la Torche, le Chaudron ainsi que la Vasque Olympique et Paralympique.

Le designer des Torches de Paris 2024 puise son inspiration dans trois valeurs : l’égalité, l’eau, et l’apaisement. L’égalité prend forme à travers la symétrie dans l’axe horizontal et vertical de l’objet ; l’eau, symbole de Paris à travers la Seine, est retranscrite dans les ondulations et reflets du métal poli ; enfin, l’apaisement porté par le message de paix des Jeux naît du dessin en courbes et en lignes continues.

L'acier 100% recyclé d’Arcelor-Mittal a été coulé à Châteauneuf dans la Loire. La matière a été laminée à Floranges en Moselle ; les feuilles font 0,7 mm d’épaisseur.

L’assemblage des pièces, à Vire, dans l’usine de Guy Degrenne. Seules 2000 sont fabriquées, pour réduire les émissions de CO².

Torche olympique de Paris 2024
© Paris 2024

Date : 2024
Matériaux et techniques : acier
Mode d'acquisition : Achat au Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024                                                                                                                                   

Pierre Gor, Cylindre en bronze gravé armorié, relique de la fonte du Louis XV de Bouchardon

Acquis en avril 2024, le cylindre de bronze gravé issu de la fonte de la statue équestre de Louis XV d’Edmé Bouchardon, rejoint le fonds d’œuvres du musée dédié à l’histoire complexe de ce monument.

Un cylindre de bronze issu de la fonte de la statue équestre de Louis XV

Ce cylindre de bronze est un objet d’aspect très original, issu de la fonte de la statue équestre de Louis XV (1710-1774) conçue par Edmé Bouchardon (1698-1762) qui eut lieu le 5 mai 1758, sous la direction de Pierre Gor (1720-1773), commissaire général des fontes de l’Arsenal de Paris et fondeur de l’Artillerie, dans un lieu spécialement créé pour l’occasion. 

L’objet porte l'inscription : « Portion de la matière qui a été employée pour la fonte de la statue équestre du roy Louis XV. Coulée au Roule le 6 mai 1758 2 tiers jaune et ⅓ rouge ». Il donne donc la composition précise (en proportions) de l’alliage métallique employé pour la fonte de cette statue équestre monumentale, une prouesse technique également célébrée par des gravures.

On peut voir d’un côté du cylindre les armoiries de Jacques-Jérôme Jolivet de Vannes (1712-1792), avocat et procureur du roi et de la ville de Paris, et de l’autre une gravure de la statue équestre de Louis XV, mise en abyme de l’élément dont elle est issue. 

Une relique de l’œuvre d’Edmé Bouchardon 

Cet objet s’apparente à un témoignage à la fois matériel et historique de cette statue et de sa gestation, dont il ne subsiste aujourd’hui que la main, exposée au musée Carnavalet-Histoire de Paris (dépôt du musée du Louvre). Le musée Carnavalet possède également une réduction de cette statue en plâtre et terre cuite par Jean-Baptiste Pigalle ainsi que des dessins, tableaux et médailles figurant la construction et l’inauguration de ce monument et de la place Louis XV. Cette acquisition enrichit donc l’important fonds d'œuvres liées à Edmé Bouchardon et en particulier à la gestation de ce monument parisien. 

Un témoignage de l’histoire urbaine parisienne 

Enfin cet objet témoigne de l’histoire urbaine et sociale de Paris et des parisiens : au-delà de son statut de relique, au même rang qu’une grande partie des objets d’histoire et de mémoire du musée, il témoigne de l’activité de la fonderie du Roule, qui se trouvait au 168, rue du Faubourg-Saint-Honoré dans le 8ème arrondissement. Si elle a justement été construite spécifiquement pour la fonte de réaliser la statue équestre de Louis XV, cette fonderie a continué à fonctionner pendant presque un siècle. Elle a été utilisée par Houdon et Crozatier pour la fonte d’autres monuments (puis fut détruite en 1856).
 

Cylindre en bronze gravé armorié, relique de la fonte du Louis XV de Bouchardon
© Jon Mills / Musée Carnavalet – Histoire de Paris / Paris Musées

Date : XVIIIe siècle
Matériaux et techniques : fonte à la cire perdue
Dimensions : H. x L. 10,9 cm x L. 55 cm 
Mode d'acquisition : Achat en vente publique en 2023 avec le soutien de la Fontation La Marck
 

Noël Quillerier, « La Conférence de Louis XI avec saint François de Paule »

Récemment acquis, le panneau peint « La Conférence de Louis XI avec saint François de Paule » de Noël Quillerier rejoint l’importante collection de décors parisiens du XVIIe siècle du musée.

Un élément de décor du couvent des Minimes de la place Royale 

Ce panneau provenant du couvent des Minimes, situé à proximité de la place Royale, enrichit la collection du musée consacrée aux éléments de boiseries, panneaux et lambris du XVIIe siècle qui documentent l’évolution du goût dans et l’art d’habiter au XVIIe siècle à Paris.

Eglise des Minimes de la Place Royale

L’ordre mendiant des Minimes est créé au XVe siècle par saint François de Paule (1416-1517). L’ermite François de Paule fut une des figures les plus marquantes de la vie religieuse du XVème siècle. Fondateur de l’ordre à 19 ans, il se vit accorder leur reconnaissance pontificale en 1474. 
La communauté se signalait par une importante activité prédicatrice et un fort engagement dans la vie pastorale. À Paris et dans ses environs, les Minimes possédaient au XVIIe siècle trois couvents. Le plus ancien se trouvait à Passy (1493), ensuite venait le couvent de Vincennes (1585-1588) et enfin celui de Paris. Ce dernier, fondé en 1610-1611 près de la place Royale, fut le véritable centre de la communauté. 
En 1629, l’édifice est presque achevé, seule sa façade reste à bâtir . Celle-ci, confiée en 1657 à François Mansart, sera terminée par Pierre Thévenot entre 1672 et 1677.  En ce qui concerne les peintures qui ornent l'intérieur, les descriptions anciennes et les inventaires révolutionnaires témoignent d'une grande abondance de beaux tableaux, exécutés essentiellement dans les années 1630 et 1640.

Un panneau dédié au fondateur de l’ordre des Minimes, Saint François de Paule

La première chapelle située à droite du maître-autel, concédée au prince de Condé en 1637, était dédiée au fondateur de l'ordre, Saint François de Paule. La commande de la décoration de cette chapelle est passée à Simon Vouet, peu de temps avant la mort de ce dernier en 1649. Alors que Vouet terminait le retable, un marché est passé le 20 mai 1648 entre l'un de ses proches, Noël Quillerier (1594-1669) et Henri d’Orléans, duc de Longueville, précisant le détail du reste de la décoration. 
En face du retable se situait un grand paysage animé d'une scène de l’histoire du fondateur de l’ordre. Les miracles qu’on lui attribue alors expliquent l’empressement de Louis XI à le rencontrer. Après la mort du roi le 30 août 1483, Saint François de Paule resta en France, où il fut protégé par Charles VIII, et mourut dans le monastère qu’il avait fondé à Plessis-les-Tours. Le reste des murs de la chapelle était couvert de lambris où étaient disposés neuf panneaux de la vie de François de Paule : Saint François faisant construire un temple (Toulouse, Musée des Augustins); Saint François ressuscitant un mort ; Saint François sauvant ses disciples du naufrage ; Saint François reçu par le pape ; L’Ascension de saint François ; Oraison de saint François ; Conférence de Louis XI avec saint François ; La Dernière Communion du saint ; La Mort de saint François. 
 

Noël Quillerier, La Conférence de Louis XI avec saint François de Paule © Maison Osenat
Noël Quillerier, La Conférence de Louis XI avec saint François de Paule
© Maison Osenat

Date : vers 1650
Matériaux et techniques : Huile sur panneau
Dimensions : H. 93,5 x L. 47 cm
Mode d'acquisition : Achat en vente publique en 2023 avec le soutien de la Fontation La Marck
 

François Jean Garneray, « Le Cortège du baptême du Roi de Rome »

Un événement historique

Présenté au Salon parmi des « vues d’intérieur d’appartement », Le Cortège du baptême du Roi de Rome rend compte d’un épisode dynastique majeur : le baptême du fils de l'Empereur le 9 juin 1811. Garneray choisit de représenter le cortège à son aller. Partie du Jardin des Tuileries, la procession débouche au début du boulevard de la Madeleine avant de gagner le boulevard Saint-Denis et la place du Châtelet pour rejoindre Notre-Dame.

Sur le tableau, vu depuis la rue des Capucines, le cortège est précisément en train de défiler sur le boulevard de la Madeleine. La cérémonie, inspirée de celle du baptême de Louis Joseph, premier dauphin de Louis XVI, est strictement définie par un programme annoncé dans la presse et exécutée par le comte Louis-Philippe de Ségur (1753-1830), et par le comte Nicolas Frochot (1761-1826), conseiller d’État et préfet de la Seine.

Un Paris pittoresque

François Jean Garneray, à l’instar d’artistes comme Canella, Boilly ou Isabey, livre ici une vision animée du Paris élégant, aristocratique et à la mode des Grands Boulevards sous le Premier Empire. Cette œuvre offre un précieux témoignage des hôtels de la rue de Caumartin, détruits ou modifiés depuis.

Derrière cette peinture d’un évènement officiel, dont le musée ne possède encore aucune représentation, l’artiste donne vie à toute une population en liesse, on notera la présence d’un marchand de coco ainsi que d’une curieuse loge rouge dans laquelle des spectateurs assistent au spectacle. La variété des costumes, des attitudes et l’attention portée à certains détails comme l’ornementation des hôtels ou encore la forêt de cheminées qui les surplombe font de ce tableau une scène parisienne extrêmement vivante.

Trois chefs-d’œuvre de l'architecte André Aubert

Parmi la trentaine d’hôtels édifiés par l'architecte dans ce quartier en plein urbanisation à la fin du 18e siècle, figure l’Hôtel Marin-Delahaye situé à l’angle de la rue de Caumartin et du boulevard de la Madeleine. Elevé en 1779 pour le fermier-général Charles Marin-Delahaye, il est successivement habité par Radix de Sainte-Foix, surintendant des Finances du Comte d’Artois, puis par Mirabeau en 1789.

En face, l’hôtel d’Aumont, également élevé par Aubert, présente une façade identique en rotonde dotée des mêmes ornementations (figures en demi-reliefs, putti, médaillons, cornets, castagnettes). Il est habité à partir de 1785 par le maréchal d’Aumont, duc et pair de France, qui rallie la Révolution et reçoit en récompense le commandement de la garde nationale. Ensuite acquis par Dominique Le Noir, l’hôtel est vendu en 1808 à Jean-Joseph Dubois-Foucou, dentiste de Napoléon Ier, Louis XVIII et Charles X et père d’Alexandre Jean-Baptiste Dubois de l’Estang, conseiller référendaire.

Le troisième hôtel, visible au premier plan du tableau est l’Hôtel de la Colonnade. Il se trouve aujourd'hui au croisement du n°43, boulevard des Capucines et des n°22-24, rue des Capucines. Cet hôtel a été construit en 1726 pour Legendre d’Armini, directeur de la compagnie de Saint-Domingue et beau-frère d’Ambroise Crozat. Le général Napoléon Bonaparte y habite momentanément, lors de sa nomination en tant que général commandant l’armée de l’Intérieur en octobre 1795 jusqu’à son mariage avec Joséphine de Beauharnais en mars 1796. En 1807, il devient la propriété du maréchal Berthier, prince de Wagram et Intendant de Paris, et est alors désigné soit en tant qu’« Hôtel Berthier » soit comme « Hôtel de Wagram ». Une grande partie de cet hôtel particulier est détruite dans les années 1850.

Sur le tableau, Garneray s’attarde à montrer le luxe avec lequel des tapisseries sont tendues sur la façade, dont la porte est surveillée par des grenadiers de la Garde.

François Jean Garneray (1755 - 1837)

Élève de David dès 1782, François Jean Garneray se présente d’abord comme « peintre en miniature » avant la Révolution et expose régulièrement au Salon entre 1791 et 1835. Cette première spécialité marque toute sa carrière, lui valant l’emploi de dessinateur à l’Académie royale de musique.

Très marqué à ses débuts par la manière de son maître, il s’en éloigne progressivement pour aller vers une touche plus douce et moins épique, s’illustrant pendant la Révolution par des portraits d'acteurs politiques, parmi lesquels Marat et Jean Jacob, musée Lambinet (Versailles) et « Louis-Michel Le Peletier de Saint Fargeau (1760-1793), conventionnel, "martyr de la Liberté" », c.1793 au musée Carnavalet.

Ces tableaux sont diffusés par la gravure grâce aux estampes en couleur de Pierre-Michel Alix. A la Restauration, Garneray se tourne vers des peintures dans le goût troubadour, contre l’enseignement et l’appréciation de David. En parallèle de la peinture d’histoire et des portraits, le peintre affectionne, durant toute sa carrière, les scènes familières et intimistes dont le musée Carnavalet conserve un témoignage : La partie de trictrac, c.1780.

Date : 1812
Matériaux et techniques : Huile sur panneau
Dimensions : H. 43 x L. 55 cm
Marques et inscriptions : Signé, Garnerey f.1812"
Mode d'acquisition : Achat de gré à gré 2022
Cette œuvre n'est pas exposée actuellement
 

Agenda

Visites
ENGLISH : key pieces for a parisian history
Billets
  • Adulte, En famille

For a first visit to the museum, immerse yourself in the history of Paris through a selection of emblematic works from our collections.

Adult, Family,

Duration : 1h30

Autres dates :

Ateliers
Visite-atelier: Sur les ailes de Mercure
Billets
  • En famille

Mercure, le dieu du commerce, fait l'objet d'un véritable culte dans la ville antique de Lutèce. Après avoir identifié les signes distinctifs de Mercure évoqués dans la visite, dessinez votre propre interprétation du dieu.

EN FAMILLE

A partir de 5 ans.

Durée : 1h30 (visite: 45 minutes, atelier: 45 minutes)

Lieu : Musée Carnavalet - Histoire de Paris, 23 rue de Sévigné, 75004 Paris

Autres dates :

Visites
Visite thématique : Les incontournables du Musée
Billets
  • Handicap moteur
  • Adulte, En famille

Pour une première visite au musée, laissez-vous guider et plongez dans l’histoire de Paris à travers une sélection d’œuvres emblématiques de nos collections. 

Durée : 1 h 30

Autres dates :

visuel de l'oeuvre
Visites
Visite thématique : Le Paris des Romantiques
Billets
  • Tarif par personne : 7 euros (TR 5 euros)
  • Adulte

De la chute de Napoléon en 1815 à la révolution de 1848, cette visite offre un vaste panorama de la capitale durant les années romantiques et plonge le visiteur dans le bouillonnement artistique, culturel et politique de l’époque.

Durée : 1h30

Enseigne A la petite hote
Ateliers
Atelier-visite: Les enseignes de Paris
Billets
  • En famille

En bois, en pierre ou en métal, parfois très colorées ou amusantes, les enseignes présentées au musée Carnavalet permettaient de s’orienter dans les rues de la capitale. Accrochées sur les façades, elles signalaient des commerces et retenaient l’attention des passants. Après la découverte des métiers du vieux Paris, rendez-vous en atelier pour imaginer votre propre enseigne.

EN FAMILLE

A partir de 5 ans

Durée : 1h30 (visite: 45 minutes, atelier: 45 minutes)

Lieu : Musée Carnavalet - Histoire de Paris, 23 rue de Sévigné, 75004 Paris

Autres dates :

Ateliers
Ateliers participatifs « Droits de la Seine »
  • Adulte, En famille

Le collectif des Gardiennes et Gardiens de la Seine est invité par le musée Carnavalet pour les traversées du Marais . 

A cette occasion, des ateliers créatifs sont proposé pour mener une réflexion collective autour des droits de la Seine.

  • Atelier créatif de confection d’ex-voto (20 participants)
  • Atelier d’écriture d’une déclaration des droits de la Seine (20 participants)

Plus d'informations sur cette page
 

Lieu : Gratuit. Inscription sur place à l’atelier thématique de votre choix, dans la limite des places disponibles. 
Rendez-vous à l’entrée principale du musée, au 23 rue de Sévigné, 75003 Paris.

Evénements
Grand procès de défense de la Seine
  • Adulte

Le collectif des Gardiennes et Gardiens de la Seine vous invite à participer au grand procès de défense de la Seine. Cette performance artistique éclairera les enjeux de la reconnaissance des droits du fleuve.

Plus d'informations sur cette page.

Lieu : Rendez-vous à l'Orangerie du musée Carnavalet, 14 rue Payenne, 75003
Gratuit. Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Visites
ENGLISH : key pieces for a parisian history
Billets
  • Adulte, En famille

For a first visit to the museum, immerse yourself in the history of Paris through a selection of emblematic works from our collections.

Adult, Family,

Duration : 1h30

Autres dates :

Conte
Conte jeune public : "Qui, Que, Quoi Carnavalet"
Billets
  • Tarif par personne : 5 euros (TR 3 euros)
  • En famille

Dans un chapeau, les œuvres incontournables du musée ont déposé leurs noms sur de petits papiers qu’il suffit de piocher pour entendre une histoire ! Lors de cette séance, ce sont les enfants qui feront, au hasard, le choix des contes pour partir à la découverte d’œuvres phares du musée Carnavalet.

Dès 5 ans.
Durée : 1 h

Autres dates :

Madame de Sévigné
Conte
CONTE : Je m'en vais vous mander
Billets
  • Tarif par personne : 5 euros (TR 3 euros)
  • En famille

La célèbre marquise de Sévigné a vécu dans l’hôtel Carnavalet. Écoutons ce qu’elle veut nous raconter sur son époque, son quotidien et son quartier. Lettres, fables et contes de fées, réveillent le siècle de Louis XIV et répondent aux objets du musée. 

 

En Famille
Enfants dès 5 ans

Durée : 1h

Autres dates :