
Le peintre Jongkind évoque avec la rue Saint-Séverin la ville d'autrefois, en marge des tout nouveaux boulevards : vieilles maisons tassées autour de la silhouette violette de l'église, maigres lueurs jaunes dans la nuit. Dans ces quartiers miséreux se multiplient les taudis où s'entassent prolétaires et laissés-pour-compte d'un temps qu'on nomme Belle Epoque.